Prénom : Orazio (ou Oratio)
Nationalité : Italien
Date de naissance : 1550 ?
Date de mort : 1615
N� vers 1550 � Cento (Italie) - mort le 8 novembre 1615 � Parme (Italie)
Orazio "dalla viola" Bassani est un instrumentiste et un compositeur italien.
Il a �t� particuli�rement c�l�bre pour sa virtuosit� en tant que joueur de viole de gambe.
Il a pass� la plus grande partie de sa carri�re au service de la famille Farnese � Parme.
D�s son plus jeune �ge, le talent d'Orazio a �t� hautement reconnu. La premi�re trace de son emploi date de d�cembre 1570, lorsqu'il a �t� envoy� � Pesaro pour repr�senter le duc Ottavio Farnese lors des festivit�s c�l�brant le mariage du prince Francesco Maria della Rovere et de Lucrezia d'Este.
En septembre 1574, lui et son fr�re Cesare (�galement violoniste) entrent officiellement dans la chapelle du duc Ottavio � Parme. Plus tard, la famille Farnese a �galement employ� le neveu d'Orazio, Francesco Maria Bassani, bien que l'on ne sache rien d'autre sur lui.
Pendant cette p�riode, les plus riches maisons de la ville et les �tats pontificaux se livraient une saine rivalit� pour voir qui aurait le mode de vie le plus somptueux, le plus prestigieux et le plus opulent, gr�ce � leur m�c�nat.
Le Duc Ottavio �tait particuli�rement passionn� par la musique instrumentale et soutenait une importante liste de plus de 20 musiciens, dont Cipriano de Rore et Claudio Merulo.
Orazio Bassani �tait particuli�rement appr�ci� puisqu'il recevait le deuxi�me salaire le plus �lev� de tous les musiciens du Duc.
En 1582, il se rend � Rome pour travailler dans le cadre de l'�uvre du cardinal Allessandro Farnese
et, en 1586, a voyag� avec le cardinal � Bruxelles.
Au cours de ces ann�es, il a re�u une belle pension annuelle de 300 scudi d'or. Apr�s cela, il est retourn� � Parme au service du duc Ranuccio Farnese, avec un seul autre s�jour connu � Rome en 1599 avant sa mort en 1615.
Des documents montrent que, dans les ann�es 1580 et 1990, des familles rivales � Mantoue et �
Ferrara tente d'attirer Orazio et Cesare pour qu'ils quittent leur emploi � Farnese, mais en vain.
