Nom : DVORAK
Prénom : Antonin
Nationalité : Tchèque
Date de naissance : 1841
Date de mort : 1904
|
|
Commentaire :
Né le 8 septembre 1841 à Nelahozeves (Tchéquie) - mort le 1ᵉʳ mai 1904 à Prague (Tchéquie)
Antonín Dvořák est un compositeur tchèque.
Son père, František (1814-1894), boucher et aubergiste, joue de la cithare pour divertir ses clients. Sa mère, Ana Zdenĕk, est issue d'une famille servant la cour de Lobkowitzschen.
Dvořák reçoit ses premiers rudiments musicaux à l'école du village où il entre en 1847. Le maître d'école, le chantre (Kantor) Joseph Spitz, enseigne le chant et lui donne des cours de violon.
Il participe assez tôt à la vie musicale locale, jouant à l'église ou dans les festivités.
En 1853, après six années d'école, ses parents l'envoient à Zlonice, où il peut se perfectionner en allemand, alors langue administrative en Bohême, et en musique auprès de Joseph Toman, chef de chœur à l'église et du chantre Antonín Liehmann qui lui enseigne le violon, le piano, l'orgue, la basse continue et la théorie.
Le fait que Dvořák, poussé par ses parents, aurait été apprenti boucher semble être une invention. Il apparaît plutôt que ces derniers ont encouragé leur fils dans la voie musicale.
À l'automne 1856, il est envoyé à Česká Kamenice, dans le nord de la Bohême, où il suit les cours de l'école allemande. Franz Hanke y est son professeur d'orgue et de théorie musicale.
À l'automne 1857, il commence ses études à l'école d'orgue de Prague, où enseignent Karl Pietsch, Josef Krejčí, František Blažek, Josef Leopold Zvonař, Josef Foerster. Il est admis à l'école secondaire Maria Schnee.
À partir de novembre 1857, il joue de l'alto dans l'orchestre de la Société Sainte-Cécile, sous la direction d'Anton Apt.
Il sort de l'école d'orgue de Prague en juillet 1859 comme second meilleur élève. La même année, il intègre l'orchestre de danse de Karel Komzák en tant qu'altiste. Il se produit dans les restaurants et dans les bals. Sa candidature pour être organiste à l'église St Jindřich étant rejetée, il reste musicien permanent dans l'orchestre.
En novembre 1862, le Théâtre Provisoire ouvre ses portes. L'orchestre de Karel Komzák forme le noyau de l'orchestre. Dvořák tient le pupitre de premier violon alto. Le premier chef est Johann Nepomuk Maýr. Ils ont à leur programme essentiellement des opéras italiens, mais aussi allemands et français.
Au début de 1865, il commence à donner des cours de piano aux filles d'un orfèvre praguois, Josefína et Anna Čermáková qui deviendra son épouse.
En 1865, il a composé ses quatre premiers quatuors à cordes, ses deux premières symphonies, Alfred, un opéra (le seul sur un livret en allemand), un cycle de mélodies et un concerto pour violoncelle avec accompagnement de piano. Mais il apparaît avant tout comme un instrumentiste.
Dvořák fait de temps à autre des services au sein d'autres orchestres. Ainsi joue-t-il en février et en novembre 1865 aux Concerts de l'île Žofin sous la direction de Richard Wagner (des ouvertures et des extraits de ses opéras).
Fin 1866, Bedřich Smetana prend la direction de l'orchestre du Théâtre Provisoire, en mettant au répertoire des œuvres de compositeurs slaves.
À partir de juin 1871 (peu après Dvořák quitte l'orchestre du théâtre), Ludevít Procházka, élève de Smetana et éditeur du journal Hudební listy qui informe de la vie musicale à Prague, contribue à faire connaître les compositions de Dvořák, notamment en les inscrivant au programme des récitals de mélodies qu'il organise : Vzpomínáni (Souvenir) sur un texte de Eliška Krásnohorská est créé le 10 décembre 1871.
Plusieurs autres de ses œuvres, y compris instrumentales, sont créées l'année suivante, dont l'Ouverture de Král a uhlív (Le roi et le Charbonnier), son second opéra, dirigé par Smetana au cours d'un concert sur l'île Žofín le 14 avril 1872.
En 1873, il épouse Anna Čermáková. La même année, le journal Dalibor publie pour la première fois une composition de Dvořák, Skřivánek (L'alouette), une mélodie. Le 9 mars, sa cantate pour voix masculine Hymnus: Dědicové bílé hory (les héritiers de la montagne blanche), est un succès qui le propulse parmi les compositeurs importants de Prague.
Encouragé, il propose son opéra Le roi et le charbonnier, d'inspiration wagnérienne, au Théâtre Provisoire. Les répétitions commencent au mois d'août sous la direction de Smetana. Mais les exigences techniques de l'œuvre dépassant les possibilités de la troupe, l'opéra est retiré du programme.
Il assure son quotidien en donnant des leçons de piano et demande une aide à une association de Prague (Svatobor) afin de pouvoir se rendre auprès de Liszt à Weimar. L'aide est refusée. Dvořák prend un emploi d'enseignant à l'école de musique privée de Jan August Starý.
Il détruit nombre de ses œuvres, reprend leur numérotation, fait évoluer son esthétique en s'émancipant de l'influence de Wagner par un néo-classicisme imprégné d'idiomes populaires, avec son cinquième quatuor à cordes (1873) et la refonte complète de son opéra Le roi et le charbonnier, qui est selon ses propres termes devenue une œuvre plus nationale que wagnérienne.
En février 1874, il est nommé organiste à l'église St Vojtěch. Le 24 novembre de la même année, la première de son opéra remanié et un grand succès. En juillet, il fait une demande de bourse que l'État autrichien accorde aux artistes. Il joint à sa requête quinze compositions dont des symphonies, des ouvertures, et les Písně z Rukopisu Královédvorského (Chansons du manuscrit de la cour de Dvůr Králové). Le jury composé d'Édouard Hanslick, Johann Herbeck et Otto Dessoff, lui accorde 400 guldens. Cette bourse sera allouée (avec Johannes Brahms dans le jury) en 1875 (400 guldens), 1876 (500 guldens), 1877 (600 guldens), 1878 (400 guldens).
En 1877, Johannes Brahms est très impressionné par les Moravské dvojzpěvy (Duos de Moraves), que Dvořák a joints à sont envoi, il les fait publier par Simrock qui commissionne en plus les Slovanské tance (Danses slaves) pour 2 pianos.
La même année, il quitte son poste d'organiste de St Vojtěch. L'amitié et la promotion que Brahms lui offre, la publication des Slovanské tance qui est un immense succès, lancent sa carrière internationale.
Les Slovanské tance sont jouées à Dresde, Hambourg, Berlin, Nice, Londres, New York, puis suivent les Slavonic Rhapsodies publiées en 1879 qui sont données dès leur parution à Dresde, Berlin, Vienne, Budapest, Lugano, Baltimore.
Il a maintenant le soutien de Joseph Joachim qui crée son sextette pour cordes en novembre 1879 à Berlin, de Hans Richter, Hans von Bülow, Jean Becker et d'ÉdouardHanslick. Il reçoit de nombreuses commandes, dont les musiques officielles à Prague.
Dans les années 1880, il défend sa singularité tchèque en demandant à son éditeur allemand que les pages-titres de ses compositions soient imprimées en allemand et en tchèque, que les paroles des œuvres vocales le soient également dans les deux langues, demande que son prénom soit initialisé en « Ant. », pour Anton et Antonín.
En août 1883, Dvořák reçoit une invitation de Londres, où plusieurs de ses œuvres ont déjà été jouées, pour diriger la Société philharmonique. L'éditeur Novello lui demande de diriger son Stabat Mater et lui commande une composition pour chœur et orchestre, qu'il devra lui-même diriger au festival de Birmingham de 1885.
Le 5 mars 1884 Dvořák gagne l'Angleterre. Le 13 il dirige son Stabar Mater à Albert Hall, puis sa sixième symphonie et sa seconde Rapsodie slave au St James's Hall, et le 22 mars le Scherzo capriccioso et le Nocturne en si au Crystal Palace. C'est un très grand succès. Il reçoit des commandes d'œuvres chorales pour les festivals de Birmingham et de Leed de 1886. Il reviendra encore huit fois en Angleterre jusqu'en 1896.
En 1886, après un différend financier qui l'oppose à Simrock qui lui paie 3 000 marks une symphonie contre 18 000 pour Brahms, il accepte de livrer une seconde série de Danses Slaves, en contrepartie Simrock accepte ses conditions. Mais la rupture ne tardera pas.
Fin janvier 1889, Josef Tragy, directeur de l'association praguoise pour la promotion de la musique, propose à Dvořák qui le refuse, un poste de professeur de composition au Conservatoire de Prague.
En juin, il est promu dans l'ordre de la Croix de fer autrichien, qu'il recevra de l'empereur quelques mois plus tard, et en février 1890, la Société artistique de Prague offre un banquet en son honneur. En avril il est promu Docteur honoris causa de l'université tchèque de Prague, puis il est élu à l'Académie des sciences et des arts.
En octobre 1890, il accepte le poste de professeur au Conservatoire de Prague avec effet en janvier 1891. Il est promu Docteur honoris causa de l'université de Cambridge.
En juin 1891, Jeannette Thurber (1850-1946) Présidente du Conservatoire national de musique de New York lui offre le poste de directeur artistique et de professeur de composition, pour un salaire annuel de 15 000 dollars soit 25 fois ce qu'il gagne à Prague.
Après être arrivé à New York avec son épouse, sa fille Otilie et son fils Antonín, il prend sa charge au Conservatoire le 1er octobre 1892. Il y sera reconduit deux années de plus. Mais la crise économique et les mauvaises affaires du mari de Jeannette Thurber qui finance une bonne partie des frais du Conservatoire, entraînent des retards de paiements.
Le 16 avril 1895, Dvořák regagne la Bohême en informant Jeannette Thurber (elle lui doit encore de l'argent) que conformément à son contrat, il ne reviendra pas à New York. Il se rapproche à nouveau de Simrock et de d'Édouard Hanslick, il reprend son poste au Conservatoire de Prague le 1er novembre.
Il est à Londres en mars 1896 pour diriger la première de son concerto pou violoncelle, se rend plusieurs fois à Vienne où il rencontre Hans Richter, Anton Bruckner et Johannes Brahms, aux funérailles duquel il assiste en avril 1897. La même année, il est élu au jury viennois qui délivre les bourses d'État aux artistes, il reçoit en 1898 la médaille autrichienne des lettres et des arts, devient membre du comité des experts des droits d'auteur, il est nommé membre de la « Herrenhaus » du gouvernement autrichien.
En 1901, il est nommé directeur du Conservatoire de Prague.
La fin de sa vie est surtout consacrée à la composition d’opéras dont le plus célèbre reste Rusalka, créé en 1901. Pendant cette période, il dirige également le Conservatoire de Prague.
Antonín Dvořák est enterré au cimetière historique de Vyšehrad, sur une colline dominant la ville de Prague (le même cimetière que Bedřich Smetana).
Source : www.musicologie.org
|
Liste des oeuvres du compositeur |
|
Concerto |
Op. 53 (B 096) |
Concerto pour violon & orchestre |
Concerto |
Op. 104 (B 191) |
Concerto pour violoncelle |
Concerto |
B 10 |
Concerto pour violoncelle |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 28/1 (B 58) |
Minuet n° 1 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 28/2 (B 58) |
Minuet n° 2 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
B 3 |
Polka pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/1 (B 101) |
Valse n° 1 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/2 (B 101) |
Valse n° 2 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/3 (B 101) |
Valse n° 3 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/4 (B 101) |
Valse n° 4 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/5 (B 101) |
Valse n° 5 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/6 (B 101) |
Valse n° 6 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/7 (B 101) |
Valse n° 7 pour piano |
Danse pour piano (valse, polka, galop, menuet...) |
Op. 54/8 (B 101) |
Valse n° 8 pour piano |
Duo |
Op. 68 (B 133) |
Forêt de Bohème (de la) |
Duo |
Op. 59 (B 117) |
Légendes (10) |
Lied, Chanson, Mélodie, Song |
Op. 55/4 (B 104) |
Lorsque ma vieille Mère |
Musique de chambre diverse |
Op. 47 (B 79) |
Bagatelles |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/1 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 1 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/2 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 2 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/3 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 3 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/4 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 4 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/5 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 5 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/6 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 6 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/7 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 7 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 46/8 - série 1 (B 83) |
Danse slave n° 8 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/1 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 9 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/2 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 10 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/3 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 11 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/4 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 12 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/5 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 13 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/6 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 14 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/7 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 15 |
Oeuvre orchestrale |
Op. 72/8 - série 2 (B 147) |
Danse slave n° 16 |
Oeuvre orchestrale |
B 94 |
Polonaise pour violoncelle & piano |
Oeuvre orchestrale |
Op. 39 (B 93) |
Suite tchèque |
Oeuvre orchestrale |
Op. 78 (B 70) |
Variations symphoniques sur un thème original |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/1 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 1 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/2 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 2 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/3 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 3 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/4 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 4 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/5 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 5 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/6 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 6 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/7 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 7 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 46/8 (B 78) |
Danses slaves (duo pianos) n° 8 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/1 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 9 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/2 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 10 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/3 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 11 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/4 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 12 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/5 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 13 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/6 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 14 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/7 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 15 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 72/8 (B 145) |
Danses slaves (duo pianos) n° 16 |
Oeuvre pour 2 pianos, à 4 mains, à 6 mains |
Op. 51 (B 508bis) |
Polonaise pour piano à 4 mains |
Oeuvre pour instrument solo & orchestre |
Op. 68/5 (B 182) |
Klid (Tranquillité - Silence de la forêt) |
Oeuvre pour instrument solo & orchestre |
Op. 11 (B 39) |
Romance pour violon & orchestre |
Oeuvre pour instrument solo & orchestre |
Op. 94 (B 181) |
Rondo pour violoncelle & orchestre |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 158 |
Album Leaf |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 109 |
Album leaves (4) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/10 (B 161) |
Bakchanale (Bacchanale) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 188/2 (op. posth) |
Capriccio |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 12/1 (B 137) |
Dumka |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 35 (B 64) |
Dumka |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 103/1 |
Eglogue n° 1 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 103/2 |
Eglogue n° 2 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 103/3 |
Eglogue n° 3 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 103/4 |
Eglogue n° 4 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 7 (B 161) |
Furiant |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 12/2 (B 137) |
Furiant |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 42/1 (B 85) |
Furiant n° 1 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 42/2 (B 85) |
Furiant n° 2 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 138 |
Humoresque |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/1 (B187) |
Humoresque n° 1 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/2 (B187) |
Humoresque n° 2 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/3 (B187) |
Humoresque n° 3 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/4 (B187) |
Humoresque n° 4 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/5 (B187) |
Humoresque n° 5 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/6 (B187) |
Humoresque n° 6 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/7 (B187) |
Humoresque n° 7 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 101/8 (B187) |
Humoresque n° 8 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 129 |
Impromptu |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 4 (B 161) |
Jarni (Chanson printanière) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 188/1 (op. posthume) |
Lullaby |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/1 (B 111) |
Mazurka n° 1 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/2 (B 111) |
Mazurka n° 2 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/3 (B 111) |
Mazurka n° 3 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/4 (B 111) |
Mazurka n° 4 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/5 (B 111) |
Mazurka n° 5 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 56/6 (B 111) |
Mazurka n° 6 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 116 |
Moderato |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 3 (B 161) |
Na starém hrade (Au vieux château) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/13 (B 161) |
Na svaté hore (En haut de la montagne sacrée) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/11 (B 161) |
Na tackach (Bavardage) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 1 (B 161) |
Nocní cestou (Chemin au demi-jour) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 52/1 (B 110) |
Pièce pour piano n° 1 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 52/2 (B 110) |
Pièce pour piano n° 2 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 52/3 (B 110) |
Pièce pour piano n° 3 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 52/4 (B 110) |
Pièce pour piano n° 4 |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 128a |
Question |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 8 (B 161) |
Rej skrikû (Danse des gnomes) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 41 (B 74) |
Scottish Dances |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 5 (B 161) |
Selska balada (Ballade Paysanne) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 9 (B 161) |
Serenáda (Sérénade) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 8 (B 98) |
Silhouettes |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 98 (B 184) |
Suite pour piano |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 36 (B 65) |
Thème & Variations pour piano |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
B 156 |
Two Little Pearls |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/12 (B 161) |
U mohyly (Au tombeau du héros) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 6 (B 161) |
Vzpominani (Rêverie) |
Oeuvre pour piano, clavecin, clavier solo |
Op. 85/ 2 (B 161) |
Zertem (Taquinerie) |
Opéra |
Op. 114 (B 203) |
Rusalka |
Ouverture, Suite pour orchestre |
Op. 91 (B 168, S 113.1) |
Dans la Nature (V prirode) |
Ouverture, Suite pour orchestre |
Op. 62 (B 125a, S 89) |
Ma Patrie - Ouverture |
Ouverture, Suite pour orchestre |
Op. 93 (B 174, S 113.3) |
Othello - Ouverture |
Ouverture, Suite pour orchestre |
Op. 92 (B 169, S 113.2) |
Ouverture 'Carnaval' |
Ouverture, Suite pour orchestre |
Op. 67 (B 132, S 89) |
Ouverture hussite |
Poème symphonique |
Op. 111 (B 199) |
Chant du héros (le) - Pis en bohatyrska |
Poème symphonique |
Op. 110 (B 198) |
Colombe (la) - Holoubek |
Poème symphonique |
Op. 107 (B 195) |
Ondin (l') - Vodnik |
Poème symphonique |
Op. 109 (B 197) |
Rouet d'or (le) - Zlaty kolovrat |
Poème symphonique |
Op. 108 (B 196) |
Sorcière de midi (la) - Polenice |
Quatuor |
Op. 61 (B 121) |
Quatuor n° 11 |
Quatuor |
Op. 96 (B 179) |
Quatuor n° 12 "Américain" |
Quatuor |
Op. 106 (B 192) |
Quatuor n° 13 |
Quatuor |
Op. 105 (B 193) |
Quatuor n° 14 |
Quintette |
Op. 81 (B 155) |
Quintette avec piano n° 2 |
Quintette |
Op. 97 (B 180) |
Quintette pour cordes "Américain" |
Rhapsodie |
Op. 14 (B 044) |
Rhapsodie |
Rhapsodie |
Op. 45/1 (B 086) |
Rhapsodie slave n° 1 |
Rhapsodie |
Op. 45/2 (B 086) |
Rhapsodie slave n° 2 |
Rhapsodie |
Op. 45/3 (B 086) |
Rhapsodie slave n° 3 |
Sérénade, Serenata |
Op. 22 (B 52) |
Sérénade pour cordes |
Sextuor |
Op. 48 (B 80) |
Sextuor à cordes |
Stabat Mater |
Op. 58 (B 71) |
Stabat Mater |
Symphonie |
B 9 |
Symphonie n° 1 'Les Cloches de Zlonice' |
Symphonie |
Op. 4 (B 12) |
Symphonie n° 2 |
Symphonie |
Op. 10 (B 34) |
Symphonie n° 3 |
Symphonie |
Op. 13 (B 41) |
Symphonie n° 4 |
Symphonie |
Op. 76 (B 54) |
Symphonie n° 5 |
Symphonie |
Op. 60 (B 112) |
Symphonie n° 6 |
Symphonie |
Op. 70 (B 70) |
Symphonie n° 7 |
Symphonie |
Op. 88 (B 163) |
Symphonie n° 8 'Anglaise' |
Symphonie |
Op. 95 (B 178) |
Symphonie n° 9 'du nouveau monde' |
Trio |
Op. 74 (B 148) |
Terzetto |
Trio |
Op. 21 (B 51) |
Trio avec piano n° 1 |
Trio |
Op. 26 (B 56) |
Trio avec piano n° 2 |
Trio |
Op. 65 (B 130, parfois classifié Op. 64) |
Trio avec piano n° 3 |
Trio |
Op. 90 (B. 166) |
Trio avec piano n° 4 "Dumky" |